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Interview de Steven Frossard qui vise haut en 2012

Steven Frossard motocross MX1 2012

Interview de Steven Frossard qui vise haut en 2012

Le pilote Monster Energy Yamaha Steven Frossard, deuxième du Championnat du Monde FIM MX1 en 2011 , estime avoir encore une marche à franchir en 2012 dans la compétition qui s'ouvre ce week-end à Valkenswaard. Récemment sacré champion d'Italie sur la YZ450FM, le Lyonnais ne cache pas ses ambitions.
 
Steve, tu avais très bien commencé 2011 mais qui étais blessé à la poitrine en Allemagne. Quelles sont des souvenirs de cette saison ?
 SF : Je suis content de ce que l'on a pu faire mais, comme tu dis, la fin de saison a été difficile. J'avais du mal à respirer après l'accident. Ma récupération s'est bien déroulée mais il m'a manqué de temps. C'était un petit accident qui normalement ne laisse aucune trace, c'était à la sortie d'un virage mais je suis tombé au sol avec force.
 
Qu'est-ce que tu me demandais comme changement sur ta moto cet hiver ?
SF : Lorsque cette question est venue sur le tapis avec l'équipe j'ai commencé par plaisanter en demandant un starter électrique. Je crois que mon but à été d'avoir une moto plus facile et plus maniable en course, pour qu'elle délivre mieux la puissance. Alors les gars sont arrivés avec des solutions et aujourd'hui je crois qu'elle est mieux que l'année dernière. En tout cas je suis très heureux de la manière dont les choses se sont déroulées. Auparavant, la moto était un peu agressive, elle est trop forte pour moi maintenant elle me semble plus agile.
 
Peux-tu nous parler de ta préparation ?
SF:  C'était pas mal ! Lors de la première course, à Valence, j'avais pas mal de vibrations. Pour la deuxième course, en Italie, et j'ai été malade et je suis resté au lit pendant deux jours. Je n'étais pas à 100 % pour la deuxième manche du championnat d'Italie mais ça allait mieux. Mon pilotage n'était pas parfait au début, pas aussi bon que lorsque je m'entraîne, mais ça s'est amélioré jusqu'à un point où j'étais satisfait. C'était bien de piloter dans le championnat d'Italie et de pouvoir me battre avec Antonio (Cairoli, le champion MX1). C'est chouette de rouler contre lui. Ce championnat, il a une signification d'une certaine manière mais il ne faut pas lui en accorder trop. Je pense que Cairoli a fini deuxième ou troisième l'année dernière mais il a terminé champion du monde.
 
Premier Grand prix, dans le sable…
 SF : Maintenant c'est quelque chose que j'aime beaucoup plus, ne serait-ce que comparé à l'an dernier. C'est quelque chose sur lequel j'ai beaucoup travaillé et je pense que j'ai de meilleures sensations sur la moto. J'espère pouvoir le montrer. Valkenswaard, ce n'est pas comme Lommel cependant. Ça peut être très dur à certains endroits et c'est un peu bizarre. Les deux courses suivantes ce sera sur dur et ce n'est pas un problème pour moi lorsqu'il y a des changements de terrain.
 
Tu as raison, vous allez en Amérique ensuite…
 SF : Je suis pressé de visiter le Brésil et le Mexique et de découvrir de nouvelles pistes. Tout le monde sera au même niveau et personne ne connaîtra vraiment le terrain. J'aime les Grands Prix qui se courent outre-mer pour l'expérience de visiter de nouveaux endroits, également pour le défi qui est constitué par le fait que de courir dans un environnement totalement différent.
 
L'année dernière tu étais considéré comme un débutant dans la catégorie. Et aujourd'hui te voilà favori pour le titre qu'est-ce que cela te fait ?
SF : Ce n'est pas un problème. Je pilote avant tout pour me faire plaisir et je me concentre sur les courses les unes après les autres. C'est une des choses que j'ai apprises en 2011. Au début de la saison, je ne me concentrais que sur le Grand Prix suivant dans le calendrier et, vers la fin, je me suis surpris à regarder le classement général et les points que je pouvais glaner. Et plus je faisais cela plus je commettais des erreurs. J'avais trop faim de monter sur cette première marche. Je ne partais pas bien et je voyais Cairoli devant. J'étaits trop agressif pour essayer de le rattraper, c'est ce qui m'a fait commettre des erreurs. Il faut que je sois un peu plus calme, que je garde mon sang-froid.
 
Quelle a été la grande leçon que tu as retenu de ta première année dans la catégorie ?
 SF : J'ai observé Cairoli il était vraiment très détendu parfois. Il savait quand ce n'était pas son jour et que la cinquième ou la sixième place était le mieux qu'il pouvait faire ces jours-là. Desalle est également comme cela.

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